Luckymog a écrit:Compo4: Boschlim Kompa (14/20)
[spoiler]Technique: 3/6
faut pas hésiter à pousser le volume hein. J'ai cru que le début était un silence perso... Sinon c'est long... mais looooong....
Oui, je m'en suis rendu compte en écoutant le volume sonore de vos compositions. Au début, c'était encore plus long parce que je me suis amusé à jouer sur des rythmes avec mes joues et mon ventre, mais je me suis dit que ces rythmes risquaient d'être difficilement applicables au style blues de la quatrième étape, alors j'ai coupé pas mal dans cette intro, mais pas suffisamment, visiblement.
Luckymog a écrit:par contre j'aime bien le synthé vocal (c'est quoiiii? °°).
En fait, c'est tout simplement ma propre voix que j'ai trafiquée via Melodyne ; j'aurais pu faire beaucoup mieux et sans cet effet de "synthé vocal", mais j'ai manqué de temps.
Phanoo a écrit:ce n'est qu'après que je rends compte que c'est un...zut j'ai plus le nom, l'instrument africain, un tuyaux qui émet un bourdonnement grave...
Il s'agit d'un didgeridoo, qui est d'origine australienne, pas africaine. Le mien n'est pas une branche d'eucalyptus mais de bambou.
PhRey a écrit: Composition 4 : Boschlim Kompa
De plus je ne pense pas que ce morceau ait été composé specifiquement pour les Noctas (si je me trompe je me flagellerais moi même en place public c'est promis) , sans parler du fade out (carrement inadmissible selon les nouvelles règles en vigueur, donc pareil, flagellation ,place publique, deshonneur, souffrances etc...) bref tout ça mis bout à bout pondère grandement ma note malheureusement...
Contrairement à ce que tu prétends, je m'y suis mis le dimanche matin vers 10 h pour finir vers 19h30. J'ai juste pris une heure pour déjeuner. Je me suis levé avec cette idée de débuter par des instruments primitifs et c'est en jouant de plusieurs instruments que m'est venue l'idée de cette chanson qui commence par un unisson, qui se poursuit par une quinte juste et qui finit pas sonner blues. Pour moi, le blues est en quelque sorte une expression très primitive de la musique et j'ai alors pensé qu'ainsi, la boucle serait bouclée. Concernant les paroles, j'ai suivi l'expérience des Beatles qui prononçaient parfois des mots ou des phrases incompréhensibles, juste parce qu'elles collaient bien musicalement ; c'est ma façon de rendre hommage à ces quatre très grands artistes qui ont tellement apporté à la musique populaire...